Lisel, la robe chemise

Description

Harmonie du lin et du kelsch (tissu  de lin fabriqué depuis la fin du Moyen Age), pour Lisel, la robe chemise by Geht’s In.

Pratique, avec ses deux poches soulignées d’un revers en kelsch, vous pouvez la porter ample ou ceintrée, à votre convenance. Pour cela, la ceinture Birgit, en kelsch également, est l’accessoire idéal.

Une nouvelle « petite robe » est née.…

Geht’s In décline Lisel, la robe chemise, en cinq couleurs . Col fendu et décolleté arrondi apportent une touche délicate aux lignes droites et intemporelles de la robe.

Touche ultra féminine, les manches courtes à petits plis ont un « je ne sais quoi » d’enfance et de chemise ancienne dévoilée.

Le partie basse en lin arrêtée au dessus du genou crée une silhouette moderne et adaptée à toutes les circonstances.

Une bande de kelsch assorti à celui du buste souligne les deux poches plaquées en fourreau.

Vous accessoirisez Lisel en un clin d’oeil. Elle vous accompagnera au bureau, dans vos sorties entre copines, pour vos dîners en terrasse…

Astuce : portez la aussi avec la ceinture façon obi en kelsch Brigit, pour jouer sur l’alliance ou le contraste des couleurs et des motifs.

Lavage en machine, cycle court, à 30°. Repassage à prévoir.

bleu foncé

Bleu ciel

Rouge

tricolore clair

Tricolore foncé

Lisel, la robe chemise, choisir votre taille

Nous avons conçu la robe Lisel pour être portée large avec une aisance d’environ 20 cm. L’aisance est le nombre de cm en plus du tour de poitrine qui permet d’être à l’aise dans son vêtement. Il y a 4 cm entre chaque taille. Si vous craigniez que la robe soit trop large, vous pouvez prendre une taille en dessous. (mais pas deux, la robe s’enfile et avec une aisance 10 cela devient de la gymnastique)

Un peu d’histoire, un peu de fantaisie et beaucoup de féminité.

Autrefois, les vêtements qui touchaient le corps étaient obligatoirement blancs, ou, plus exactement bis ( brun/gris souvent dû à l’absence de teinture.) Il faut attendre 1774 et la découverte du blanchiment par le chlore pour que les vêtements de corps deviennent vraiment blancs. On pensait en effet que la couleur, en tant que « matière » ne devait pas entrer en contact avec le corps.

En Alsace, les femmes portaient une jolie chemise de lin sous leur robe. La partie haute, visible, était de tissu fin. La partie sous la jupe était de toile plus rudimentaire, parfois un mélange de lin et de chanvre.

C’est de cette chemise qui allie deux toiles différentes qu’est née Lisel.

Dans le modèle Lisel, le Kelsch, tissu d’Alsace presque millénaire, remplace le tissu fin d’origine.

Le kelsch, tissu d’Alsace

Au début en lin, le kelsch peut être aussi en coton ou en métis (mélange de lin et de coton)

La combinaison de fils écrus, bleus et rouges ouvre à l’infini la possibilité de motifs. Chacun met en œuvre son imagination.

Le kelsch au cours des siècles est passé de linge de lit à linge de maison. Presque disparu au milieu du XXème siècle, on doit sa survie au sursaut de quelques artisans, notamment Michel GANDER. Depuis son décès brutal en 2017 la relève est assurée par l’entreprise de tissage Emmanuel LANG et Cédric PLUMEY qui a repris certains métiers de monsieur GANDER.

Chez Geht’s In, nous avons été conquises par la qualité du tissu et la beauté de ses motifs. Nous avons décidé de vous les faire découvrir en les utilisant dans la confection de Lisel.

Et comme chez Geht’s In nous sommes tournées vers l’avenir, la partie basse de Lisel est en lin. La France est le premier producteur de cette fibre textile économe en eau et en intrants (engrais et pesticides) Sa culture et sa transformation sont donc les alliées du climat et de la biodiversité.

Histoire, fantaisie, savoir-faire et mode responsable, voici Lisel, pour vous toutes.